Archives de catégorie : archives sur un vin

THE 378 DRC WINES THAT I HAVE DRUNK dimanche, 29 décembre 2013

Since end of 2000 I have drunk 378 wines of DRC in 77 different vintages. Il represents nearly 30 per year.

The wines for which I have drunk the greatest number of vintages are :

La Tâche : 98 wines in 46 vintages

Romanée Conti : 55 wines in 38 vintages

Richebourg : 61 wines in 37 vintages.

If one « wine » is represented by one appellation in one year, I have drunk 223 different wines in 77 vintages. The average drunk for one wine is 1,7 which indicates a very large panorama on the wines of the Domaine.

The « wines » that I have drunk the most are :

6 times : 1999 Montrachet, 1956 Richebourg

5 times : 1953 Richebourg, 1983 La Tâche, 1983 Romanée-Conti, 1986 La Tâche, 1992 La Tâche

It depends mainly on my buys.

Detailed statistics are in the file attached to this message   NB VINS DRC BUS 131229

Bel Air Marquis d’Aligre « défendu d’en laisser » vendredi, 12 juillet 2013

J’ai été contacté il y a quelques temps à propos d’ un travail de recherche historique sur l’ensemble des crus classés de Saint-Emilion et plus précisément d’un Grand-Corbin blanc de 1924.

Cette fois, Sylvain Torchet s’intéresse aux historiques des crus bourgeois de 1932 et m’a contacté à propos de la bouteille du château Bel-Air marquis d’Aligre dont j’ai mis plusieurs photos sur mon blog et sur le site de lapassionduvin.

Il m’envoie ce texte très intéressant :

L’histoire de cette bouteille est la suivante : Le marquis Étienne Jean François d’Aligre (1770-1847) réservait la production du château Bel-Air uniquement pour son usage personnel.

De 1825 à 1847, il a fait fabriquer des bouteilles portant son nom et cette mention Défendu d’en laisser, il s’agit d’une des premières bouteilles de forme bordelaises (celles de Latour de la fin du 18ème sont larges d’épaules).

Ces bouteilles furent stockées au domaine et dans son hôtel particulier de la rue d’Anjou-Saint-Honoré.

Après son décès, son gendre Michel Marie de POMEREU (1779-1863) et/ou son petit fils, Étienne-Marie-Charles de Pomereu-d’Aligre (1813-1889), marquis de Riceys et marquis d’Aligre, héritier du marquis d’Aligre bénéficiant du titre par une ordonnance du 21 décembre 1825, ont perpétué cette tradition en faisant inscrire le nom de Pomereu d’Aligre sur les bouteilles suivantes.

Il a donc existé un nombre important de ces bouteilles et la production a pu continuer au moins jusqu’en 1889 et le décès de l’héritier du marquis d’Aligre, voir 1897.

 

Il existe une histoire sur la diffusion de ces bouteilles que beaucoup d’auteurs ont repris à partir d’un texte paru dans Le Monde Illustré de 1857.

Quelqu’un sur la passion du vin avait repris le texte suivant qui n’est pas la copie exacte du texte original mais s’en approche :

« On l’appelle le Margaux défendu. Pourquoi défendu? L’affaire va vous être expliquée. Les bouteilles qui le contiennent ont été fondues expressément en verre olive, forme bordelaise, et l’épaule est flanquée de deux médaillons en haut relief et opposés. Sur l’un on lit : Margaux Bel-Air Marquis d’Aligre et sur l’autre dans un feston, cet ordre impératif et excessivement agréable à recevoir : « Défendu d’en Laisser ».

Vous voyez maintenant d’où vient ce nom, ce surnom, ce défendu. Le marquis d’Aligre, alors qu’il était propriétaire du Château de Bel-Air en plein cru Margaux, ne souffrait point que ce vin allât dans le commerce. Tout entrait dans ses caves et n’en ressortait que pour la table, ou pour quelques cadeaux de loin en loin. A sa mort, deux amateurs qui connaissaient et appréciaient cette liqueur exquise, se disputèrent ce qui restait dans les catacombes de l’hôtel célèbre de la rue d’Anjou : l’un était M. Frédéric Gaillardat, dont le nom est inséparable du plus grand succès dramatique de notre temps (La Tour de Nesles), aujourd’hui écrivain politique de premier ordre et amateur de vins rares, pour les offrir à ses amis. L’autre acquéreur était le Comte d’Ignenville, mort l’an dernier en laissant une petite cave de trois mille bouteilles ! Ses bouteilles de château Aligre furent partagées par un agent d’une grande maison bordelaise entre deux restaurateurs.

A la mort du marquis, le Château de Bel-Air a été acheté par M. Viguerie, banquier et président du tribunal de commerce de Toulouse. Il paraît que cet heureux propriétaire suit l’égoïste tradition du marquis et ne vend pas son vin! Chez lui il n’est pas défendu d’en laisser, il est défendu d’en prendre ! Les deux restaurateurs, quant à eux, avouent n’en avoir plus que trente trois bouteilles… le reste est dans la cave à porte de fer de M. Frédéric Gaillardat. Quelqu’un, un spéculateur, qui a su l’affaire, a essayé d’obtenir les fameuses bouteilles vides du vin incomparable, évidemment pour les remplir d’un autre vin de choix et profiter frauduleusement de la tradition d’Aligre et des légendes du verre. Mais l’honorable écrivain informé de la tentative, fait briser toutes les bouteilles à mesure que son hospitalité les épuise, étendant ainsi la curieuse inscription, non pas seulement au délicieux contenu, mais au contenant même. Une de ces bouteilles authentiquement pleine, sera donc sous peu une curiosité digne d’un musée. »

Malheureusement, je ne peux confirmer l’exactitude des informations portées et citées un peu partout.

Tout d’abord, je n’ai pas réussi à retrouver de comte d’Ignenville (ou avec un nom approchant) mais surtout le château Bel-Air est resté la propriété de la famille du marquis d’Aligre au moins jusqu’en 1897, année où le domaine serait devenu la propriété d’Ernest Rosset. Nulle part, on ne trouve trace d’un Joseph Viguerie dans les livres consacrés au vin de cette période.

La fiche historique sera disponible sur le site de Sylvain Torchet en septembre.

 

Photos sur mon blog à

http://www.academiedesvinsanciens.com/galerie-1848/

http://www.academiedesvinsanciens.com/defendu-den-laisser/

sur LPV une discussion a commencé par ce message : http://lapassionduvin.com/phorum/read.php?3,844,715025#msg-715025

les Salon que j’ai bus mardi, 6 septembre 2011

J’ai un amour particulier pour ce champagne. Il se trouve que j’ai un moyen de retrouver tous mes comptes-rendus. Voici ce que j’ai bu de Salon, par année, avec indication entre parenthèses du n° du bulletin qui en parle. Or sur ce blog il y a une catégorie « bulletins » où ils sont tous accessibles par leur n°.

1959 – 1959 (169) – 1959 (317) – 1961 (408) – 1966 (94) – 1969 (203) – 1969 (213) – 1971 (374) – 1971 (429) – 1976 (87) – 1976 (197) – 1976 (268) – 1976 (274) – 1976 (443) – 1979 (94) – 1979 (257) – 1979 (415) – 1982 (94) – 1982 (119) – 1982 (125) – 1982 (127) – 1982 (168) – 1982 (214) – 1982 (223) – 1982 (232) – 1982 (305) – 1982 (379) – 1982 (384) – 1982 (447) – 1983 (12) – 1983 (44) – 1983 (112) – 1983 (119) – 1983 (155) – 1983 (172) – 1983 (190) – 1983 (338) – 1983 (363) – 1983 (388) – 1985 (2) – 1985 (15) – 1985 (24) – 1985 (61) – 1985 (67) – 1985 (70) – 1985 (94) – 1985 (101) – 1985 (134) – 1985 (150) – 1985 (165) – 1985 (165) – 1985 (191) – 1985 (332) – 1985 (332) – 1985 (359) – 1985 (428) – 1988 (70) – 1988 (86) – 1988 (89) – 1988 (94) – 1988 (95) – 1988 (145) – 1988 (165) – 1988 (172) – 1988 (188) – 1988 (197) – 1988 (204) – 1988 (211) – 1988 (218) – 1988 (224) – 1988 (238) – 1988 (239) – 1988 (258) – 1988 (274) – 1988 (282) – 1988 (285) – 1988 (304) – 1988 (429) – 1988 (449) – 1990 (85) – 1990 (94) – 1990 (237) – 1990 (238) – 1990 (239) – 1990 (259) – 1990 (303) – 1995 (94) – 1995 (118) – 1995 (123) – 1995 (150) – 1995 (165) – 1995 (172) – 1995 (213) – 1995 (229) – 1995 (286) – 1995 (287) – 1995 (319) – 1995 (336) – 1995 (391) – 1995 (444) – 1996 (197) – 1996 (237) – 1996 (237) – 1996 (237) – 1996 (239) – 1996 (329) – 1996 (352) – 1996 (381) – 1996 (405) – 1996 (450) – 1997 (274) – 1997 (274) – 1997 (337) – 1997 (388) – 1997 (389) – 1997 (390) – 1997 (413) – 1997 (415) – 1997 (444) – 1997 (447) – 1997 (447) – 1997 (448) – 1997 (450) – 1999 (429)

On peut donc se reporter au bulletin de son choix si l’on veut savoir comment j’ai ressenti tel ou tel Salon.

Mémoire du champagne Dom Ruinart rosé 1990 dimanche, 24 juillet 2011

Je n’imaginais pas l’avoir bu autant de fois. Ici un Dom Ruinart rosé 90 bu avec Richard Juhlin chez Ruinart :

Alors que je suis assez peu fanatique des champagnes rosés, je suis interdit comme sur un uppercut par le Dom Ruinart rosé 1990. le nez est incroyablement séducteur et en bouche, quelle élégance après les blancs ! Passionnant. Mais le Dom Ruinart rosé 1988 allait me plaire plus encore par un fruité excitant. Je l’ai préféré au 1990, contre l’avis de mes amis qui ont plébiscité le 1990. Mais ce fruité m’allait bien. Le Dom Ruinart rosé 1986 moins ouvert, plus conventionnel, fut vite doublé, sur un froncement de cil de Richard Juhlin, par un magnum du même millésime. Malgré une nette amélioration, ce champagne ne me fit pas vibrer.

Un Dom Ruinart rosé 1990 est une splendeur. Des arômes incroyablement flexibles, qui s’adaptent aux saveurs qui lui sont proposées. Un magnifique champagne, avec des variations extrêmement éclectiques.

Là je ne peux pas résister à la tentation de mettre un passage totalement bling-bling ! :

Raffinement suprême, quand le crépitement du feu d’artifices cessa, à travers le nuage gris qui retombait, le château fut percé par l’éclairage de toutes les fenêtres, d’un ton orange strictement de la couleur du Yquem 1967. Si c’était voulu, c’est un magistral clin d’œil. Eblouis par les saveurs intenses de ce sublime repas on cherchait autour de soi avec qui partager ses impressions. Michael Broadbent était tout sourire, Philippine de Rothschild était aux anges. Une coupe de Dom Ruinart rosé 1990 allait préparer le retour vers nos voitures dans des allées où des torches remplaçaient les rosiers qui ponctuent les rangs de vignes.

Là, ça redevient plus popu, car c’est à l’occasion d’une partie de belote :

Lors d’une revanche aux cartes, le champagne Dom Ruinart 1990 rosé confirme, s’il en était besoin, l’impression et l’admiration que j’avais ressenties lorsque je l’avais découvert lors d’un dîner au siège de Dom Ruinart. Magnifique rosé joyeux et dense.

Rebelote :

Un champagne Dom Ruinart rosé 1990 est un dessert à lui tout seul. Il chante dans le verre. Il s’est amusé de diverses expressions de desserts et a confirmé que 1990 est particulièrement réussi. Je n’étais pas du camp des gagnants à la belote. L’important était à table et dans nos verres.

Re, rebelote :

mais c’est un champagne Dom Ruinart rosé 1990 qui montre où se trouve la vraie grandeur. Savoir que la belote n’est qu’un jeu, d’accord. Mais aligner les humiliations, même avec Dom Ruinart rosé, ça casse, double casse, comme on dit à Nice.

le Champagne Dom Ruinart rosé 1990 fut placé ici comme une pause entre deux plats. Quel choix judicieux ! Ce champagne est un vent de fraîcheur. J’ai été immédiatement frappé par l’élégance de sa construction. C’est un immense champagne rosé, très au dessus de la mémoire que j’en avais. Un grand moment de charme.

Le Champagne Dom Ruinart rosé 1990 séduit déjà par son flacon particulièrement élégant. Dans le verre, la couleur rose saumonée est une invitation à la luxure. Et sur le lait caillé, étrange et délicieux, nous sommes embarqués dans un monde inexploré. J’adore la confrontation du plat et du vin dont aucun ne ressort indemne. Il y a une interpénétration redoutable. Nous discutons avec Alain de la transformation que subit le champagne. Point n’est besoin de savoir ce qu’il vaudrait intrinsèquement car ce dont il faut jouir, c’est de ce qu’il nous offre maintenant, dans un accord étrange, rare, important.

Mon gendre qui avait un événement à fêter a apporté un Champagne Dom Ruinart rosé 1990. D’une couleur de pêche jaune rose, ce champagne est un vrai bonheur, qui combine la complexité et la facilité. D’une bulle très active, il trouve un joli partenaire dans les tranches d’une pomme à peine acide, cuites à l’extérieur mais crues à l’intérieur.

Deux interprétations de la pêche blanche accompagnent un magnum de Champagne Dom Ruinart rosé 1990. La couleur d’un rose de nacre intense réjouit les yeux. La bulle est très active et le champagne est d’un charme surhumain. C’est un des plus grands champagnes rosés que l’on puisse imaginer, de la même race que le rosé Dom Pérignon 1990 en magnum lui aussi. Ce champagne a du chien, de la race, et une sensualité raffinée et l’on se demande si ce rosé ne dame pas le pion au Salon 1995. Ce champagne de classe se sirote dans le calme d’une nuit paisible au rythme des conversations interminables.

archives d’Yquem mercredi, 20 juillet 2011

Entre parenthèses, le n° du bulletin qui parle du vin.

Les 264 Château d’Yquem :

1861 (174) – 1874 (412) – 1876 – 1889 (225) – 1890 (382) – 1890 (437) – 1891 (224) – 1893 – 1893 – 1893 (225) – 1899 (225) – 1899 (248) – 1899 (382) – 1900 – 1900 (285) – 1904 (276) – 1906 (324) – 1906 (111) – 1908 (12) – 1908 (26) – 1917 (16) – 1918 (261) – 1921 – 1921 – 1921 (101) – 1921 (212) – 1921 (248) – 1923 (310) – 1927 (355) – 1928 (365) – 1928 – 1928 (54) – 1929 (206) – 1929 – 1929 (350) – 1931 (149) – 1932 (40) – 1933 (77) – 1934 (113) – 1934 (248) – 1935 (182) – 1935 (397) – 1936 – 1936 (176) – 1936 (262) – 1937 (169) – 1937 – 1937 – 1937 (87) – 1937 (248) – 1938 (221) – 1939 (335) – 1939 (231) – 1940 (145) – 1941 (382) – 1941 (382) – 1941 (141) – 1942 (54) – 1942 (119) – 1944 (442) – 1945 – 1945 (248) – 1947 – 1947 (248) – 1948 (213) – 1948 (32) – 1948 (248) – 1949 (157) – 1949 (357) – 1949 – 1949 (248) – 1949 (350) – 1949 (408) – 1950 (173) – 1950 (208) – 1953 (182) – 1953 (248) – 1954 (212) – 1954 (235) – 1955 (267) – 1955 – 1955 (119) – 1955 (230) – 1955 (248) – 1957 (174) – 1958 (297) – 1959 (172) – 1959 (277) – 1959 – 1959 – 1959 (248) – 1959 (350) – 1960 (167) – 1961 (174) – 1961 (279) – 1961 (297) – 1961 (321) – 1961 (248) – 1961 (331) – 1962 (163) – 1962 (250) – 1962 (255) – 1966 (283) – 1966 (81) – 1966 (92) – 1966 (313) – 1966 (399) – 1967 (176) – 1967 (369) – 1967 (424) – 1967 – 1967 – 1967 – 1967 (41) – 1967 (148) – 1967 (248) – 1967 (317) – 1967 (412) – 1968 (270) – 1969 (369) – 1969 (384) – 1969 (441) – 1970 (398) – 1970 (248) – 1970 (381) – 1973 (19) – 1975 (265) – 1975 – 1975 (248) – 1976 (202) – 1976 (236) – 1976 (256) – 1976 (259) – 1976 (393) – 1976 (53) – 1976 (248) – 1977 (268) – 1978 (256) – 1978 (125) – 1978 (428) – 1979 (102) – 1980 (327) – 1980 – 1981 (193) – 1981 (9) – 1981 (210) – 1982 (341) – 1982 (9) – 1982 (84) – 1982 (248) – 1983 (196) – 1983 – 1983 (146) – 1983 (226) – 1983 (248) – 1983 (300) – 1983 (83) – 1984 (277) – 1984 (160) – 1984 (251) – 1985 (261) – 1985 (361) – 1985 (285) – 1985 (434) – 1986 (245) – 1986 – 1986 (2) – 1986 (228) – 1986 (229) – 1986 (248) – 1986 (370) – 1986 (385) – 1987 (193) – 1987 (199) – 1987 (240) – 1987 (54) – 1987 (60) – 1987 (374) – 1988 (250) – 1988 (187) – 1988 (238) – 1988 (270) – 1988 (282) – 1988 (321) – 1988 (394) – 1988 – 1988 (11) – 1988 (24) – 1988 (62) – 1988 (68) – 1988 (127) – 1988 (192) – 1988 (248) – 1988 (249) – 1988 (292) – 1988 (302) – 1988 (430) – 1989 (176) – 1989 (217) – 1989 (298) – 1989 (363) – 1989 (202) – 1989 – 1989 (113) – 1989 (248) – 1989 (350) – 1990 (323) – 1990 (388) – 1990 – 1990 (98) – 1990 (147) – 1990 (248) – 1990 (97) – 1991 (192) – 1991 (34) – 1991 (42) – 1991 (104) – 1994 (252) – 1994 (155) – 1995 – 1995 (1) – 1995 (9) – 1995 (248) – 1996 (250) – 1996 (220) – 1996 (235) – 1996 (298) – 1996 (298) – 1996 (363) – 1996 (51) – 1996 (54) – 1996 (133) – 1997 (267) – 1997 (32) – 1997 (175) – 1997 (248) – 1998 (235) – 1998 (84) – 1998 (115) – 1998 (133) – 1998 (248) – 1999 (213) – 1999 (298) – 1999 (363) – 1999 (133) – 1999 (144) – 2000 (248) – 2001 (250) – 2001 (160) – 2001 (382) – 2001 (174) – 2001 (225) – 2001 (248) – 2001 (249) – 2002 (212) – 2002 (220) – 2002 (225) – 2002 (424) – 2003 (225) – 2003 (248) – 2005 (298) – 2007 (382) – 2009 (382) – 2010 (430)

Le vin rouge d’Yquem

1997 (225)

Les 28 vins blancs secs d’Yquem :

1912 (225) – 1959 (398) – 1960 – 1960 – 1962 (155) – 1964 (24) – 1968 (270) – 1978 (255) – 1980 (13) – 1980 (41) – 1980 (53) – 1980 (319) – 1985 (149) – 1985 (171) – 1985 (175) – 1985 (198) – 1985 (77) – 1985 (327) – 1988 (98) – 1988 (434) – 1988 (301) – 1988 (403) – 2000 (32) – 2000 (220) – 2002 (113) – 2006 (363) – 2006 (374) – 2007 (382)

des notes pour 8.812 vins mercredi, 20 juillet 2011

Je viens de mettre à jour mes notes sur 8.812 vins. Pour chaque vin, il y a l’indication du bulletin qui en parle, ce qui donne ceci, par exemple, pour Lafite-Rothschild :

1844 (387) – 1858 (387) – 1865 (180) – 1868 (224) – 1900 (324) – 1900 (383) – 1900 (443) – 1900 (305) – 1919 – 1919 (1) – 1919 (32) – 1919 (343) – 1922 (443) – 1922 (393) – 1924 (273) – 1928 – 1928 (369) – 1934 – 1934 (181) – 1934 (263) – 1934 (268) – 1943 (395) – 1943 (317) – 1945 (114) – 1945 (257) – 1948 (443) – 1948 (262) – 1949 (228) – 1949 (263) – 1950 (263) – 1953 (182) – 1955 (27) – 1955 (55) – 1955 (203) – 1959 (351) – 1961 (443) – 1962 (53) – 1962 (62) – 1962 (376) – 1963 (186) – 1964 (155) – 1964 (321) – 1965 (201) – 1965 (271) – 1969 (78) – 1969 (97) – 1969 (425) – 1970 (409) – 1971 (443) – 1971 (173) – 1979 (148) – 1980 (63) – 1981 (149) – 1981 (126) – 1981 (127) – 1981 (284) – 1983 (92) – 1984 (348) – 1985 (83) – 1985 (332) – 1986 (28) – 1986 (220) – 1986 (324) – 1987 (55) – 1987 (165) – 1988 (129) – 1988 (209) – 1990 (443) – 1990 (381) – 1990 (83) – 1997 (360) – 1998 (209) – 1998 (215) – 2001 (234) – 2003 (209).

Si donc on veut savoir ce que j’ai écrit sur Lafite 1990, on peut se reporter dans la catégorie « bulletins » aux n°s 443, 381 ou 83.

Je peux faire une telle liste pour chacun des vins que j’ai bus.

archives des bordeaux rouges samedi, 23 octobre 2010

Cette nouvelle catégorie est ouverte pour permettre de pouvoir accéder facilement aux commentaires sur un vin particulier.

Pour un vin en face de l’année, on donne le n° du bulletin qui évoque ce vin. En allant ensuite dans la catégorie "bulletins", on trouve facilement le bulletin qui parle du vin.

http://academiedesvinsanciens.org/?cat=5

(si le n° de bulletin est soit "*" soit "A", c’est que ce vin a été bu avant le 20 décembre 2000, date du premier bulletin et que j’en ai gardé la mémoire en conservant un menu, mais sans commentaire écrit)

Pétrus archivesPtrus.pdf

archives des champagnes samedi, 23 octobre 2010

Cette nouvelle catégorie est ouverte pour permettre de pouvoir accéder facilement aux commentaires sur un vin particulier.

Pour un vin en face de l’année, on donne le n° du bulletin qui évoque ce vin. En allant ensuite dans la catégorie « bulletins », on trouve facilement le bulletin qui parle du vin.

http://academiedesvinsanciens.com/?cat=5

(si le n° de bulletin est soit « * » soit « A », c’est que ce vin a été bu avant le 20 décembre 2000, date du premier bulletin et que j’en ai gardé la mémoire en conservant un menu, mais sans commentaire écrit)

par dates :

Champagnes d’avant 1950                                archiveschampagnesavant1950.pdf

Champagnes de 1950 à 1982                            archiveschampagnesde19501982.pdf

Champagnes de 1983 à 1995                            archiveschampagnesde19831995.pdf

Champagnes du millésime 1996                         archiveschampagnesde1996.pdf

Champagnes de 1997 à 2007                            archiveschampagnesde19972007.pdf

par noms :

Champagne Bollinger                                       archiveschampagneBollinger.pdf

Champagne Dom Pérignon                                archiveschampagneDomPrignon.pdf

Champagne Heidsieck                                     archiveschampagneHeidsieck.pdf

Champagne Henriot                                        archiveschampagneHenriot.pdf

Champagne Krug                                            archiveschampagneKrug.pdf

Champagne Laurent Perrier                              archiveschampagneLaurentPerrier.pdf

Champagne Moët & Chandon                            archiveschampagneMoetetChandon.pdf

Champagne Mumm                                         archiveschampagneMumm.pdf

Champagne Pol Roger                                      archiveschampagnePolRoger.pdf

Champagne Pommery                                     archiveschampagnePommery.pdf

Champagne Roederer                                      archiveschampagneRoederer.pdf

Champagne Ruinart                                        archiveschampagneRuinart.pdf

Champagne Selosse                                        archiveschampagneSelosse.pdf

Champagne Salon                                           archiveschampagneSalon.pdf

Champagne Taittinger                                     archiveschampagneTaittinger.pdf

Les autres champagnes                                   archiveschampagnesnoncits.pdf

archives des sauternes et liquoreux lundi, 18 octobre 2010

Cette nouvelle catégorie est ouverte pour permettre de pouvoir accéder facilement aux commentaires sur un vin particulier.

Pour un vin en face de l’année, on donne le n° du bulletin qui évoque ce vin. En allant ensuite dans la catégorie "bulletins", on trouve facilement le bulletin qui parle du vin.

http://academiedesvinsanciens.org/?cat=5

(si le n° de bulletin est soit "*" soit "A", c’est que ce vin a été bu avant le 20 décembre 2000, date du premier bulletin et que j’en ai gardé la mémoire en conservant un menu, mais sans commentaire écrit)

Chateau Climens archivesClimens.pdf

Château Sigalas Rabaud archivesSigalasRabaud.pdf

Chateau Suduiraut archivesSuduiraut.pdf

Chateau d’Yquem et Y d’Yquem archivesYquemetY.pdf

archives sur un vin mercredi, 7 juillet 2010

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Pour un vin en face de l’année, on donne le n° du bulletin qui évoque ce vin. En allant ensuite dans la catégorie "bulletins", on trouve facilement le bulletin qui parle du vin.

http://academiedesvinsanciens.org/?cat=5

(si le n° de bulletin est soit "*" soit "A", c’est que ce vin a été bu avant le 20 décembre 2000, date du premier bulletin et que j’en ai gardé la mémoire en conservant un menu, mais sans commentaire écrit)

Commençons par quelques vins :

Chateau d’Yquem archivesYquemetY.pdf

Pétrus archivesPtrus.pdf

Chateau Gazin Pomerol archivesGazin.pdf

Vins du Domaine de la Romanée Conti archivesDRC.pdf

Bourgognes de Camille Giroud archivesCamilleGiroud.pdf

Champagne Dom Pérignon archivesDomPrignon.pdf

Château Sigalas Rabaud archivesSigalasRabaud.pdf